- EAN13
- 9782372631198
- ISBN
- 978-2-37263-119-8
- Éditeur
- LIBRE SOLIDAIRE
- Date de publication
- 11/11/2021
- Collection
- 1000 RAISONS
- Nombre de pages
- 272
- Dimensions
- 21 x 13 x 2 cm
- Poids
- 322 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Cet ouvrage se veut le fondement d'une véritable écologie politique s'émancipant des idéologies mystificatrices.
Il se donne trois objectifs :
- D'abord rappeler une série de notions fondatrices et indispensables à toute démarche se réclamant de l'écologie politique ;
- Ensuite pointer les mythes, illusions et idéologies qui inhibent, obstruent, fourvoient toute tentative de penser les relations que la civilisation humaine a pu tisser avec la biosphère ;
- Enfin, alimenter les réflexions qui visent une profonde transformation de nos sociétés aujourd'hui engagées dans des impasses à la fois intellectuelles et politiques, et traversées par des crises civilisationnelles.
Ces réflexions nous incitent à la reconnaissance pleine et entière de l'altérité de la nature face à laquelle l'humanité ne peut qu'exister en créant lucidement, par sa propre liberté, ses modes d'organisation individuels et collectifs.
Le rapport à la nature n'a jamais été et ne sera jamais ni harmonie, ni contrat, ni dialogue apaisé : c'est une relation conflictuelle et complémentaire entre deux créations radicales, l'auto-organisation de la nature et l'auto-institution des sociétés humaines. Seule une autonomie redéfinie permettra de l'appréhender lucidement.
Il se donne trois objectifs :
- D'abord rappeler une série de notions fondatrices et indispensables à toute démarche se réclamant de l'écologie politique ;
- Ensuite pointer les mythes, illusions et idéologies qui inhibent, obstruent, fourvoient toute tentative de penser les relations que la civilisation humaine a pu tisser avec la biosphère ;
- Enfin, alimenter les réflexions qui visent une profonde transformation de nos sociétés aujourd'hui engagées dans des impasses à la fois intellectuelles et politiques, et traversées par des crises civilisationnelles.
Ces réflexions nous incitent à la reconnaissance pleine et entière de l'altérité de la nature face à laquelle l'humanité ne peut qu'exister en créant lucidement, par sa propre liberté, ses modes d'organisation individuels et collectifs.
Le rapport à la nature n'a jamais été et ne sera jamais ni harmonie, ni contrat, ni dialogue apaisé : c'est une relation conflictuelle et complémentaire entre deux créations radicales, l'auto-organisation de la nature et l'auto-institution des sociétés humaines. Seule une autonomie redéfinie permettra de l'appréhender lucidement.
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