- EAN13
- 9782330002145
- ISBN
- 978-2-330-00214-5
- Éditeur
- Éditions Jacqueline Chambon
- Date de publication
- 02/11/2011
- Collection
- Éd. Jacqueline Chambon
- Nombre de pages
- 96
- Dimensions
- 19,5 x 12,4 x 0,7 cm
- Poids
- 110 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- castillan, espagnol
- Fiches UNIMARC
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La Philosophie En Hiver
De Ricardo Menéndez Salmón
Traduit par Delphine Valentin
Éditions Jacqueline Chambon
Éd. Jacqueline Chambon
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Une passion (la philosophie), une atmosphère (l’hiver), un génie (Spinoza).
Avec ces trois brins, Ricardo Menéndez Salmon tresse deux histoires séparées par trois cents ans, mais unies par les deux grandes pulsions humaines, l’amour et la mort. Les deux héros ont en commun d’être espagnol à Amsterdam : Spinoza est surnommé l’Espagnol parce qu’il vient de la péninsule ibérique. Ils ont aussi la pauvreté en partage : l’inventaire des biens terrestres que laisse Spinoza à sa mort serre le cœur tant la précarité de son existence s’y révèle.
La philosophie ne nourrit pas son homme mais réchauffe-t-elle en hiver ? Prenant pour prétexte l’existence grise d’un érudit espagnol qui enterre ses illusions à Amsterdam et celle de Spinoza, qui aima et mourut dans cette même ville, La Philosophie en hiver peut être lue à la fois comme la confession d’un malaise, une biographie atypique et une enquête policière où coexistent la digression philosophique, l’image expressionniste et la fresque historique.
Un récit précieux, brillant et rare.
Avec ces trois brins, Ricardo Menéndez Salmon tresse deux histoires séparées par trois cents ans, mais unies par les deux grandes pulsions humaines, l’amour et la mort. Les deux héros ont en commun d’être espagnol à Amsterdam : Spinoza est surnommé l’Espagnol parce qu’il vient de la péninsule ibérique. Ils ont aussi la pauvreté en partage : l’inventaire des biens terrestres que laisse Spinoza à sa mort serre le cœur tant la précarité de son existence s’y révèle.
La philosophie ne nourrit pas son homme mais réchauffe-t-elle en hiver ? Prenant pour prétexte l’existence grise d’un érudit espagnol qui enterre ses illusions à Amsterdam et celle de Spinoza, qui aima et mourut dans cette même ville, La Philosophie en hiver peut être lue à la fois comme la confession d’un malaise, une biographie atypique et une enquête policière où coexistent la digression philosophique, l’image expressionniste et la fresque historique.
Un récit précieux, brillant et rare.
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