- EAN13
- 9782865867585
- ISBN
- 978-2-86586-758-5
- Éditeur
- Erès
- Date de publication
- 04/04/1900
- Collection
- FONDS PSYCHANAL
- Dimensions
- 22 x 14 x 1,8 cm
- Poids
- 501 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- italien
- Code dewey
- 150.195
- Fiches UNIMARC
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La psychanalyse comme oeuvre ouverte
émotions, récits, transformations
De Antonino Ferro
Traduit par Patrick Faugeras
Préface de Florence Guignard
Erès
Fonds Psychanal
Autre version disponible
S'appuyant sur une connaissance approfondie de la pensée analytique européenne et une solide culture littéraire et philosophique, le travail théorico-pratique que Ferro présente ici opère une conjonction féconde entre les développements bioniens de la pensée freudienne - notamment sur le rêve et sur le groupe - et les avancées de la philosophie et de la sémiologie italienne centrée sur l'œuvre capitale d'Umberto Eco, ce dont le titre de cet ouvrage rend compte.
¿Pour approcher la démarche de pensée de Ferro, il ne suffit pas de rappeler qu'il est rompu à la métapsychologie, tant freudienne que kleinienne et bionienne, dont il contient les similitudes et les différences, maîtrisant leurs articulations sans jamais tomber dans un magma totalisant ou un ostracisme borné. Il faut ajouter qu'il utilise de la façon la plus pertinente sa compétence bionienne du domaine de la mentalité de groupe pour l'articuler, voire l'opposer, aux développements oedipiens du sujet. Il faut aussi souligner qu'il ne cesse de mettre à l'épreuve ses synthèses et ses apories théoriques au travers d'un enseignement s'étendant aux deux hémisphères de notre planète, et qu'il demeure curieux et ouvert aux élaborations nouvelles de ses collègues.
Enfin il est rare de rencontrer un psychanalyste capable de parler avec une telle liberté et une telle sérénité des mouvements introjectifs qui lui permettent d'accueillir ses patients en tant que personnages, non seulement de sa rêverie diurne mais aussi de ses rêves de la nuit, et d'utiliser largement ce vécu privé pour l'analyse de son contre-transfert.¿ (Florence Guignard)
¿Pour approcher la démarche de pensée de Ferro, il ne suffit pas de rappeler qu'il est rompu à la métapsychologie, tant freudienne que kleinienne et bionienne, dont il contient les similitudes et les différences, maîtrisant leurs articulations sans jamais tomber dans un magma totalisant ou un ostracisme borné. Il faut ajouter qu'il utilise de la façon la plus pertinente sa compétence bionienne du domaine de la mentalité de groupe pour l'articuler, voire l'opposer, aux développements oedipiens du sujet. Il faut aussi souligner qu'il ne cesse de mettre à l'épreuve ses synthèses et ses apories théoriques au travers d'un enseignement s'étendant aux deux hémisphères de notre planète, et qu'il demeure curieux et ouvert aux élaborations nouvelles de ses collègues.
Enfin il est rare de rencontrer un psychanalyste capable de parler avec une telle liberté et une telle sérénité des mouvements introjectifs qui lui permettent d'accueillir ses patients en tant que personnages, non seulement de sa rêverie diurne mais aussi de ses rêves de la nuit, et d'utiliser largement ce vécu privé pour l'analyse de son contre-transfert.¿ (Florence Guignard)
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